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LES NOUVELLES

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La maison fut d'abord un orphelinat qui s’est inscrit ensuite comme Service du secteur de l'Aide à la Jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles.


1880 - La propriété dénommée « Château Le Louchier » appartient à la famille Bataille-Le Louchier. A la mort d’Henri Le Louchier, ses héritiers destinent la propriété à un objectif social, pris en charge, dans la mesure du possible, par des religieuses. Ce sont d'abord les religieuses de la Providence de Grenoble qui y dirigent un pensionnat pour jeunes filles et dispensent l'enseignement à un petit nombre d'enfants de Tertre.


1920 - Les religieuses Oblates de St Benoît d'Heverlee, viennent les remplacer. Elles y fondent, en 1922 un orphelinat comptant quatre-vingt filles et dix religieuses.


23 avril 1944 - Une bombe "égarée" tombe sur le couvent tuant quarante-huit enfants, deux religieuses et la dame de ménage, pourtant tous réfugiés à l’abri des caves du bâtiment.


1962 - Grâce à l’implantation de trois pavillons français de l'exposition universelle de 1958 à Bruxelles, la partie de l'accueil des jeunes est reconstruite.


29 mars 1975 - Création de l'asbl Les Gais Pavillons qui reprend la gestion du service d'accueil et occupe les bâtiments. La maison devient à part entière une maison d'accueil pour les jeunes jusqu'à leur majorité. Ces jeunes sont placés par la Protection de la jeunesse sous tutelle du Juge de la Jeunesse selon la loi de 1965 de la protection de la jeunesse.


En vertu du décret du 4 mars 1991, la maison reçoit un agrément pour accueillir vingt jeunes.

Le travail avec les jeunes et leurs familles a pour but d'amener ceux-ci, vers la réinsertion dans leur famille, vers leur propre autonomie ou vers une autre orientation familiale.


Suite à la réforme de 1999, Les Gais Pavillons reste l'asbl qui gère le service mais celui-ci change de nom et devient Le Bivouac SAAE. (Service d’Accueil et d’Aide Educative). Le 1er Janvier 2003 : l’agrément est donné pour quinze prises en charge de jeunes de trois à

dix-huit ans.


Depuis le 1er avril 2018, le Bivouac dispose d’un agrément pour vingt et une prises en charge de jeunes âgés de zéro à dix-huit ans avec une équipe d’encadrement de quinze personnes (douze équivalents temps plein). Au 1er janvier 2019, le service change de sigle et devient un SRG, un Service Résidentiel Général. Le Service Résidentiel Général a pour mission principale d’organiser l’accueil collectif et l’éducation d’enfants et de jeunes qui nécessitent une aide en dehors de leur milieu de vie. L’objectif principal est de rendre partenaires les « familiers » des jeunes afin que ceux-ci deviennent leur propre levier de changement de la situation, afin qu’au terme de ce cheminement, tous puissent revivre ensemble dans de meilleures conditions de vie et de relations… Le Bivouac offre pour chaque jeune accueilli, un lieu de vie sécurisant qui lui permet de s’épanouir en harmonie et dans le respect.


Et c’est dans le but d'améliorer l'accueil des jeunes et de répondre au mieux à l'évolution du service, qu’un vaste projet d'une extension reliant les deux pavillons actuels a été lancé en même temps qu’une importante modernisation des deux pavillons existants.

Cette importante campagne de travaux a été possible grâce au soutien inconditionnel de nombreux donateurs, de sympathisants généreux et l’aide de tous les bénévoles qui soutiennent l’action du Bivouac, notamment par le biais de l’Opération Oranges organisée chaque année depuis 1989.


Pour que ce projet puisse devenir une réalité, le Bivouac fait appel maintenant à la générosité de toutes personnes, institutions, entreprises,…en mesure de contribuer d’une manière ou d’une autre à la réussite de ce beau défi.


Les objectifs du projet


• ‑Créer des chambres individualisées pour les jeunes garantissant ainsi leur intimité et un travail éducatif plus personnalisé.

• Ramener les locaux administratifs, la cuisine, les réserves dans les nouveaux locaux.

• ‑Réaliser des espaces d’accueil, spécifiques, aux familles en dehors des lieux où vivent les jeunes accueillis au service.

• Permettre une présence de nuit plus efficace pour les éducateurs.

• Mettre en conformité les sanitaires et les salles d’eau.•

• Organiser des espaces plus aérés en fonction des âges des jeunes accueillis.



Le financement du projet

C’est CAP 48, par une aide financière substantielle récoltée dans le cadre de l’opération Viva For Life, qui a ouvert la porte vers la réalisation concrète de notre rêve.


Pour nous aider: Notre projet est soutenu par le Service Arc-en-Ciel.

Tous les dons d’au moins 40 € peuvent être exonérés d’impôts au compte :

BE41 6300 1180 0010 du service Arc-en-Ciel, 41 Rue du Bien Faire – 1170 Bruxelles.

Sans attestation fiscale : Au compte de l'ASBL Les Gais Pavillons :

BE29 2707 0321 2364. Merci.



Laissons l'ASBL Accueil et Vie et Maison d’Accueil « Le Kangourou » se présenter ici...


Contexte historique


L’ASBL "Accueil et Vie" a vu le jour le 1er juillet 1978 avec pour objet :


Apporter aux femmes et aux mères mineures et majeures avec ou sans enfants et éventuellement à des foyers en difficulté toute aide et tout secours spirituel, matériel, social ou éducatif sous toutes formes. Protéger et défendre les droits et intérêts de tout enfant né ou à naître par tous les moyens légaux et toutes voies de droit.


Pour réaliser ces objets, elle pourra notamment créer, gérer, administrer des foyers et des maisons d’accueil dans un climat familial et communautaire ainsi que des offices d’informations et de conseils.


En 1980, l’ONE reconnaît la Maison Maternelle.


En 1980, l’ASBL achète un ancien hôtel à Baudour. La Maison Maternelle “Le Kangourou ” y emménage en janvier 1981 et porte sa capacité à dix femmes et leurs enfants. La maison s’agrandit, se met aux normes de sécurité et porte sa capacité à 12 femmes et leurs enfants.

En 2000, avec le passage à la Région Wallonne, la capacité est calculée en globalisant femmes et enfants. Elle passe ainsi à trente-cinq personnes. Depuis quelques années, la Maison Maternelle devient Maison d’Accueil ( par décret de la Région Wallonne) et peut ainsi accueillir des mamans avec des enfants plus âgés.


Comment fonctionne la Maison ?


Au début, la Maison fonctionnait avec des bénévoles.

Actuellement, Le Kangourou fonctionne avec 15 personnes travaillant temps plein ou mi-temps. La présence d’un responsable du personnel est requise 24 heures / 24 et 7 jours / 7


Nos moyens d’existence

  • La Région Wallonne nous alloue des subsides pour une partie du personnel qu’elle exige, c.-à-d : 1 directeur (trice), 1 assistante sociale, 4 éducs A1 et 1 A2 plus +/- 25000 € de frais de fonctionnement.

  • Le reste du personnel est rémunéré par le Forem et Maribel.

  • Nous ne recevons aucun subside pour le bâtiment ni pour son entretien ni pour sa mise en conformité pour tous les services de sécurité.

Notre évolution


En 2005, nous ouvrons un service d’Insertion Sociale à Tertre. On y organise des ateliers de réinsertion ouverts à nos mamans. Pour aider à cette réinsertion, nous avons ouvert, au même endroit, un magasin de seconde main qui permet à celles qui fréquentent le « SACADOS » de se familiariser avec la vente, l’agencement d’un magasin ou l’entretien de vêtements.


Actuellement, les objectifs de la Maison, tels qu’ils sont exprimés dans le projet pédagogique sont les suivants :

  • Aider la femme accueillie à définir et à mener à bien son projet d'existence en tenant compte des réalités extérieures et de ses ressources et limites personnelles.

  • Aider la femme accueillie à développer sa relation avec ses enfants.

  • Favoriser le développement physique, psychomoteur et affectif de l'enfant accueilli.

  • Elaborer un projet pédagogique propre à chaque maman et à chaque enfant.

  • Soutenir la femme accueillie dans l’acquisition ou la récupération de son autonomie et de son insertion ou réinsertion sociale.

  • La Maison prône de nouveaux modèles identitaires tels que “la femme autonome qui se gère et gère avec succès sa famille ”.

Comment continuer notre action ?


Les 12 chambres du Kangourou sont toujours occupées. Les frais sont élevés et les subsides n’augmentent pas. Même les frais de personnel ne sont pas remboursés entièrement pas plus que les frais de fonctionnement. Ce qui pose des problèmes de trésorerie malgré une politique de strictes économies.


Nous souhaitons que le Kangourou perdure longtemps et, pour cela, nous sollicitons votre aide. Participer le dimanche 22 septembre 2019 à la marche solidaire dans le bois de boudoir, organisée par le KiTaRo41 (l'inter-service-clubs de St-Ghislain), est un moyen ludique et convivial de nous apporter votre soutien.


Nous envoyons une attestation fiscale pour tout don annuel de 40 € minimum versés en une ou plusieurs fois. Notre n° de compte : BE47 2700 1863 6480 Accueil et Vie ASBL.

Dernière mise à jour : 17 juin 2019

Le 22 septembre 2019, le quatrième Dimanche, le KiTaRo41, l'inter-service-clubs de St-Ghislain, vous invite à venir marcher dans le bois de Baudour en famille et entre amis, pour apporter votre soutien à la maison d'accueil familial "Le Kangourou".


L'objectif est clair : mille marcheurs ou plus !!


Aidez-nous, parlez-en, venez marcher entre voisins, entre amis, entre collègues, profitez de cette opportunité d'un belle balade (5, 10 ou 15 km) paisible, pour faire plaisir !


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